En natation, on a des cultures assez différentes. C’est vrai qu’il reste maintenant encore quelques grands pôles. Il y a tout le monde anglo-saxon avec les Américains et les Australiens. Il y a aussi tout le côté asiatique qui en ce moment est en plein essor au niveau de la natation donc avec les Japonais notamment, nous on a les Jeux de Tokyo en ce moment, les Chinois. Il y a vraiment un pôle asiatique qui est en train de se développer. Après, il y a le côté européen qui est aussi quelque chose un petit peu différent.
Après cette dissémination un peu du savoir, il y a une autre chose qui est apparue un petit peu plus récemment. C’est les athlètes qui ont de plus en plus bougé finalement. Ils ont de plus en plus changé d’entraîneurs, changé de structures. Aller voir ailleurs, de plus en plus s’ouvrir. La propagation des savoirs passe aussi par les athlètes et l’expérience qu’ils peuvent vivre dans des pays différents. C’est vrai que ça, ça joue et ça fait vraiment se multiplier les connaissances.