L’exportation d’un modèle, il faut toujours l’adapter au pays en question, ou à la zone géographique en question. C’est de ce tuning que dépend la réussite.
La première difficulté outre cette adaptation culturelle, c’est le fait de sélectionner les hommes, de trouver les bonnes personnes, avec à la fois la connaissance du marché local, et la connaissance de notre histoire et de notre culture.
Ça s’est fait naturellement au départ, avec des collaborateurs français qui nous ont accompagnés sur place, puis très souvent avec un local, soit un numéro deux, soit un futur numéro un qu’on va former au fil du temps.
Sur certaines zones, ce n’est pas évident, puisque comme le métier n’existe pas, évidemment la culture n’est pas là, et ça c’était un petit peu notre défi. C’est notre challenge, en fait, des années qui viennent. Des nouvelles zones, on les a, mais on n’a pas forcément de bonhomme.
Je pense que la génération suivante sera bien adaptée. Elle est déjà très internationale. C’est intéressant de pouvoir dupliquer ces modèles sur des nouvelles zones. Bien sûr, c’est passionnant.